Violence
L'insolence
de ces pensées assourdissantes
L'indolence
de ces jours sans repos ni vertu
L'existence
fragile de ces robots sans âmes
Sans
esprits – imbéciles
Et
leurs tristes mots pathétiques
Ils
s'agitent comme des insectes englués
Ils
s'imaginent plus qu'ils ne sont
Ces
robots méprisables
Ravissent
mon sommeil
Et ma
paix – le calme tranquille
Des
jours de solitude -
Libèrent
des envies de violence
L'écume
aux lèvres
Et
ces pensées assourdissantes
Tant
de bêtise à tuer
Tant
de haine dans mes mains impuissantes
Tant
de violence dans mon âme épuisée.
23/12/2013
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire