Jour sans joie [poème médiocre]
Sous un vent glacé
L’opprobre des jours qui fuient
Aujourd’hui je faiblis
L’acidité brûlante des larmes
Percent le mur qui fut bâti.
L’âme fuyante, bercée de douces illusions
Laissez-moi l’illusion d’être quelqu’un
Qui décide et vit.
Mais les rires sont amers,
Mon cœur se vide au rythme du temps
Parfois l’illusion d’être quelqu’un.
Tout s’enfuit entre mes doigts
Qui ne savent retenir.
Je suis malade de cette vie
Où les choix ne sont pas les miens
Je ne fais que dire oui –
Être docile espérant –
Espérant seulement un morceau de bonheur.
Lui appartiendra-t-il jamais ?
On veut lui faire croire
Que c’est à elle que revient ce choix
Mais dans l’absolue vérité
Ce choix n’est pas à elle.
Doucement l’âme explose
A l’extérieur, seules les larmes acides.
Mars 2011
Pouf, je l'ai écrit entre deux crises de larmes un jour où ça n'allait pas, et il est vraiment mauvais, c'est du niveau adolémoquiamalalavie.
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